Benchmark sur les conciergeries de quartier
Dans le cadre de projets immobiliers proposés au sein de quartiers en renouvellement urbain, Julie Rieg a réalisé une étude sur des conciergeries de quartier afin d’aider […]
Julie Rieg est intervenue lors des deuxièmes Assises du rebond pour parler de l'étude sur le micro-entrepreneuriat réalisée pour la Fondation Entreprendre en 2022/2023 (voir ici). Elle a participé à la table ronde animée par Dimitri Pivot, président fondateur de Second Souffle, qui visait à répondre à la question "Comment lever les freins au recours à l'accompagnement des entrepreneurs ?". A ses côtés, Dominique Restino, président de la CCI Paris Ile-de-France. L'étude est en téléchargement ci-lien.
L'étude s'appelle "Le micro-entrepreneur,
un entrepreneur comme les autres". Elle rappelle qu'il y a des réalités
diverses derrière le micro-entrepreneur, que l'on ne peut que
difficilement assimiler à du salariat
déguisé (qui existe mais qui n'est pas mesurée et certainement pas
dominant). En revanche, quelque chose se joue entre la question de l'emploi et de l'entrepreneuriat, car un micro-entrepreneur qui arrive à vivre de son activité, crée son propre emploi. C'est donc une réussite
en soi ! D'ailleurs, si Madame la Ministre invite à redéfinir l'échec
entrepreneurial, Julie Rieg invite en miroir à redéfinir la réussite
entrepreneuriale. 10 micro-entrepreneurs indépendants qui créent leur
emploi ne valent-ils pas autant qu'1 entrepreneur qui crée 9 emplois
salariés ? Si ces personnes arrivent à vivre décemment et de manière
pérenne, à payer le pain et les baskets du(de la) petit(e) comme Dimitri PIVOT le disait bien dans nos échanges, la réussite est acquise dans les deux cas.
Malheureusement, les taux de pérennité
des micro-entreprises sont relativement bas (33%), alors que 80% des
micro-entrepreneurs interrogés par la Fondation Travailler autrement en
2021 déclaraient se voir encore exercer leur activité dans 5 ans. Le
faible taux de pérennité n'est donc pas une question de volonté. Il ne
s'agit pas d'entreprendre sur un temps court, d'un entrepreneuriat
éphémère en quelque sorte. L'échec s'explique autrement, notamment par
le fait que le recours à l'accompagnement des ME est plus faible que pour les autres entrepreneurs (il augmente pourtant grandement les chances de succès),
et que les besoins d'accompagnement des ME sont plus forts concernant
la recherche de clients, le réseautage, le business plan, la gestion de
l'irrégularité des revenus et la protection sociale.
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